« Notre analyse est que nous vivons un moment crucial dans la guerre contre Daesh (l’Etat islamique) », disait l’ambassadeur de Russie en France, Alexandre Orlov sur RMC le vendredi 25 septembre. « Cette guerre dure déjà depuis cinq ans. Depuis un an, les Américains et la coalition bombardent les positions de Daesh. Cinq mille frappes ont été opérées. Et le résultat vous le voyez : Daesh est aux portes de Damas ». Pour Alexandre Orlov, la priorité est claire : « Si Damas tombe, il n’y aura plus de Syrie (…). D’abord, il faut sauver l’Etat syrien et après, parler d’autre chose » (1). Et d’évoquer, dans un français parfait, le discours à venir de Vladimir Poutine lundi 28 septembre à l’Assemblée générale…