Qu’est-ce qui déplaît autant aux éditorialistes dans le discours donné par Donald Trump le 27 avril à l’hôtel Mayflower de Washington, sur la politique étrangère qu’il se propose de mener s’il est élu président en novembre prochain pour les Républicains ? On les dirait sans repères personnels, reprenant le plus souvent, comme s’ils étaient eux-mêmes engagés dans la campagne présidentielle américaine, les réactions partisanes des soutiens à Hillary Clinton – celle de Madeleine Albright, secrétaire d’Etat de Bill Clinton entre 1997 et 2001 par exemple: « Je n’ai jamais vu une telle combinaison de slogans simplistes, de contradictions et d’inexactitudes dans un même discours. Le but de Donald Trump était peut-être de nous convaincre qu’il peut être présidentiable. Au lieu de ça, il a…
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