“ Le premier ministre David Cameron a fait face lundi à la plus forte rébellion jamais survenue pendant son mandat, des dizaines de membres de son parti au Parlement étant décidés à soutenir l’appel à un référendum sur l’appartenance de la Grande-Bretagne à l’Union européenne (…). Comme par ironie, la question du référendum est arrivée à l’ordre du jour grâce à une de ses propres innovations, par laquelle des pétitions (signées sur) un site gouvernemental et recevant un large appui public pouvaient être discutées au Parlement ” (1). Nous serions donc, écrit élégamment Denis Hiault pour l’AFP (2), revenus aux “enchères eurosceptiques” : “ Elles ont miné le gouvernement conservateur de John Major dans les années 90 et son successeur travailliste Tony Blair, plus…